« Apodose » : différence entre les versions
Aller à la navigation
Aller à la recherche
* * *
* * *
* * *
* * *
Aucun résumé des modifications |
|||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
<span id="ancre_1"> </span> | <span id="ancre_1"> </span> | ||
[[Fichier: Apodose_Stone_Alexandre_Aigle_800p.jpg|600px|thumb|center| ''Alexandre''. La bataille de Gaugamèles (1er octobre 331 av. J.-C.) C'est le début du grand affrontement entre les armées de Darius III, à droite, et d'Alexandre le Grand, à gauche. On constate que l'aigle survole le ciel en se dirigeant à gauche, vers la victoire. Selon la légende, "le devin d'Alexandre l'encouragea avec le vol de l'aigle : sa victoire sur Darius fut éclatante et lui permit de se proclamer roi d'Asie." <ref>'''Éloïse Mozzani''', ''Le livre des superstitions, Mythes, Croyances, Légendes'', Éditions Robert Laffont, Paris, (1995) 1996, p. 27. </ref>]] | [[Fichier: Apodose_Stone_Alexandre_Aigle_800p.jpg|600px|thumb|center|alt=''Alexandre''. La bataille de Gaugamèles (1er octobre 331 av. J.-C.) C'est le début du grand affrontement entre les armées de Darius III, à droite, et d'Alexandre le Grand, à gauche. On constate que l'aigle survole le ciel en se dirigeant à gauche, vers la victoire. Selon la légende, "le devin d'Alexandre l'encouragea avec le vol de l'aigle : sa victoire sur Darius fut éclatante et lui permit de se proclamer roi d'Asie."|''Alexandre''. La bataille de Gaugamèles (1er octobre 331 av. J.-C.) C'est le début du grand affrontement entre les armées de Darius III, à droite, et d'Alexandre le Grand, à gauche. On constate que l'aigle survole le ciel en se dirigeant à gauche, vers la victoire. Selon la légende, "le devin d'Alexandre l'encouragea avec le vol de l'aigle : sa victoire sur Darius fut éclatante et lui permit de se proclamer roi d'Asie." <ref>'''Éloïse Mozzani''', ''Le livre des superstitions, Mythes, Croyances, Légendes'', Éditions Robert Laffont, Paris, (1995) 1996, p. 27. </ref>]] | ||
<br/> | <br/> | ||
<span id="ancre_1a"> </span> | <span id="ancre_1a"> </span> | ||
[[Fichier: Apodose_Stone_Alexandre_presage_800p.jpg|600px|thumb|center| ''Alexandre''. A la fin du film, un aigle royale passe non loin de la fenêtre de la mère d'Alexandre, Olympias, et laisse tomber une proie. La mère comprend aussitôt, le funeste message, la mort de son fils. ]] | [[Fichier: Apodose_Stone_Alexandre_presage_800p.jpg|600px|thumb|center|alt=''Alexandre''. A la fin du film, un aigle royale passe non loin de la fenêtre de la mère d'Alexandre, Olympias, et laisse tomber une proie. La mère comprend aussitôt, le funeste message, la mort de son fils.|''Alexandre''. A la fin du film, un aigle royale passe non loin de la fenêtre de la mère d'Alexandre, Olympias, et laisse tomber une proie. La mère comprend aussitôt, le funeste message, la mort de son fils. ]] | ||
<br/> | <br/> | ||
| Ligne 32 : | Ligne 32 : | ||
<center>* * *</center> | <center>* * *</center> | ||
[[#ancre_1|Haut de page]] | |||
[[Thèse:Introduction|Introduction à la cinémancie]] | |||
[[Dictionnaire:Liste des mots|Liste des mots]] - [[Dictionnaire:Liste des films|Liste des films]] - [[Dictionnaire:Liste des réalisateurs|Liste des réalisateurs]] | |||
Version du 26 mai 2012 à 01:58
Alexandre. La bataille de Gaugamèles (1er octobre 331 av. J.-C.) C'est le début du grand affrontement entre les armées de Darius III, à droite, et d'Alexandre le Grand, à gauche. On constate que l'aigle survole le ciel en se dirigeant à gauche, vers la victoire. Selon la légende, "le devin d'Alexandre l'encouragea avec le vol de l'aigle : sa victoire sur Darius fut éclatante et lui permit de se proclamer roi d'Asie." [1]
Définition
L'apodose cest la portion d'avenir que commande et laisse deviner un présage ; elle contient "l'oracle". Cf. Article de Jean Bottéro, "Symptômes, signes, écritures en Mésopotamie ancienne" in, Divination et rationalité, (Recherches anthropologiques sous la direction de Remo Guidieri), Editions du Seuil, Paris, 1974, pp. 82-83.
Voir
Notes et références
- ↑ Éloïse Mozzani, Le livre des superstitions, Mythes, Croyances, Légendes, Éditions Robert Laffont, Paris, (1995) 1996, p. 27.