Modifications

Aller à : navigation, rechercher

Stalker

3 941 octets ajoutés, 19 octobre 2012 à 12:24
- Stalker : '' Je ne sais pas. Je crois qu’elle laisse passer ceux… qui n’ont plus aucun espoir… Ni les bons, ni les mauvais… Les malheureux. Mais le plus malheureux périra vite s’il ne sait pas se conduire… Vous avez de la chance qu’elle vous ait prévenu. '' <br/>
<center>* </center>
=====Les écarts du Professeur dans la Zone =====
Après ce que nous venons de voir et d’entendre, le Professeur ne sort pas indemne de l'intermède de l’Écrivain. Il commençait à prendre conscience de la dangerosité de la Zone.
'''<span id="ancre_65b">Plan</span> 65b''' : ''1h 00' 48"'' : Le Professeur enlève son sac en annonçant : « '' Vous savez, je préfère rester ici… En attendant que vous reveniez… comblés de félicité. '' (Il s’assoit sur une dalle.) <br/>
- Stalker : (off) ''C’est impossible. '' <br/>
- Le Professeur : '' Mais si, j’ai des sandwiches, un thermos… '' <br/>
- Stalker : (off) '' Sans moi, vous ne tiendrez même pas une heure. Et on ne revient pas par le chemin de l’aller. '' <br/>
- Le Professeur : '' Néanmoins, je préfèrerais… '' <br/>
- Stalker : (off) ''Retournons tous ensemble. Je vous rendrai votre argent. J’en déduirais une partie pour… le dérangement… '' <br/>
- L’Écrivain : '' Vous voilà dégrisé, Professeur ? '' <br/>
- Le Professeur (se lève, remet son sac à dos) : ''C’est bon, jetez votre écrou. '' <br/>
<center>* * *</center>
 ==== Dans la bâtisse de la « Zone » ====   <span id="ancre_67p"> </span> [[Fichier: Stalker_Tarkovski_Plan_67_Zone_Vous êtes fatigués.jpg|300px|thumb|right| alt=''Stalker''La suite est en préparation, en attendant vous pouvez lire la page suivante'''Photogramme - 42''' : '''Plan 67.''' Le Stalker observe que les deux hommes se reposent : « ''Vous êtes fatigués ou quoi ? '' »|''Stalker'', '''Photogramme - 42''' : '''Plan 67.''' Le Stalker observe que les deux hommes se reposent : « '' Vous êtes fatigués ou quoi ? '' »]] <span id="ancre_68p"> </span> [[Sac#L’évolution du sac du ProfesseurFichier: Stalker_Tarkovski_Plan_68_Chute pierre.jpg|300px|thumb|right| alt=''Stalker'', '''Photogramme - 43''' : '''Plan 3768.''' Reflux de l’eau après la chute de la pierre dans le puits. |''Stalker'', '''Photogramme - 43''' : '''Plan 68.''' Reflux de l’eau après la chute de la pierre dans le puits.]]  '''<span id="ancre_66">Plan</span> 66''' : ''1h 02' 14"'' : A l’intérieur de la bâtisse, le Stalker de dos, est au seuil d’une entrée, il appelle ses protégés : « ''Où êtes-vous ? Venez par ici. '' »  '''<span id="ancre_67">Plan</span> 66''' : ''1h 02' 26"'' : Le Professeur et l’Écrivain sont près d’une partie de la bâtisse à moitié en ruine. Le Professeur est assis sur un petit muret, et masse ses pieds. L’Écrivain est allongé, la tête reposant sur une grosse pierre. Derrière eux, un sombre et mince passage vers l’intérieur de la bâtisse. Au-dessus du Professeur, pend une bandelette blanche.  - Stalker : '' Vous êtes fatigués ou quoi ? '' (Cf. '''Photogramme – 42.''')<br/>- L’Écrivain : ''Mon Dieu ! A en juger par son ton, il va encore nous faire de la morale. '' <br/>  A cet instant précis, nous entendons en off, le bruit d’une pierre jetée dans l’eau.  '''<span id="ancre_68">Plan</span> 68''' : ''1h 02' 55"'' : Reflux de l’eau après la chute de la pierre. (Cf. '''Photogramme – 43.''') L’eau a des reflets aciers, comme s’il s’agissait d’une eau lourde, métallisée. Le Stalker en voix off commence un monologue : « ''Que leur volonté soit faite. Puissent-ils croire… et rire de leurs propres passions. Car ce qu’il nomment « passions » n’est pas la force de l’âme, mais une friction entre l’âme et le monde extérieur. L’essentiel est qu’ils croient en eux-mêmes. Et deviennent fragiles comme des enfants. Car la faiblesse est grande tandis que la force est minime. '' '''<span id="ancre_69">Plan</span> 68''' : ''1h 03' 43"'' : Le Stalker est accroupi dans l’encadrement d’un passage étroit. Il continue son monologue : « ''L’homme en venant au monde est faible et souple. Quand il meurt il est fort et dur ? L’arbre qui pousse est tendre et souple. Devenu sec et dur, il meurt. La dureté et la force sont les compagnons de la mort, la souplesse et la faiblesse expriment la fraîcheur de la vie. Ce qui est dur ne vaincra pas. <center>* </center>   ''La suite est en préparation''
<center>* * *</center>
 
 
==Conclusions==