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Cheveux

0 octet ajouté, 19 décembre 2011 à 19:10
C’est la séquence du rêve d’Aliocha.
'''<span id="ancre_30ancre_24">Plan</span> 24 :''' '' 16' 57''&quot; : Nous observons la [[première]] brève apparition du père : gros plan rapproché rapide, il est debout, il verse de l'[[eau]] sur la tête de son épouse. (Cf. '''Photogramme – Cheveux 3.''')
'''<span id="ancre_30ancre_27">Plan</span> 27 ''' '': 19' 45''&quot; : Long plan circulaire à 360°. Le Poète se dirige vers un meuble avec un miroir, il prend un [[livre]] (27f). Il l'ouvre. Un [[objet]] tombe, sans que nous sachions ce que c'est. D'après le [[son]] de la chute, c'est plutôt un bouton (d'un [[manteau]]) qu'une pièce de monnaie. Le livre, c'est une Bible. Il remarque, à la première page de la bible, une mèche de cheveux enroulée autour d'un peigne. (Cf. '''Photogramme – Cheveux 9.''')
Après la visite du Poète de la « Maison de la fin du monde », le Poète entre dans sa chambre.
'''<span id="ancre_30ancre_72">Plan</span> 72 ''' '': 1h 03' 20''&quot; : Il est étonné de trouver sur son lit la Traductrice en train de se sécher les cheveux. "''Je croyais que tu étais parti ?''" Elle lui donne le prétexte qu'il n'y avait pas d'eau chaude dans sa chambre à elle. Le Poète n'y accorde aucune importance. Heureux, comme un enfant, il rejoint la Traductrice dans le lit, et lui dit : "''Regarde ce qu'il m'a donné : une [[bougie]]''" (plan 73). Il lui montre la bougie.
A ce moment-là commence le long monologue de la Traductrice sur un ton vindicatif de reproche : " ''Tu as peur… Tu as des complexes… Tu n'es pas libre… (…)''" (Elle se dirige vers une fenêtre.) (74b) " ''À Moscou j'ai rencontré des hommes extraordinaires''. (Elle ouvre la fenêtre.) (Cf. '''Photogramme – Cheveux 12.''')
====Cheveux en chignon====
'''<span id="ancre_30ancre_99">Plan</span> 99''' '' : 1h 32' 48''&quot; : La Traductrice est au téléphone avec le Poète. Elle est debout dans une luxueuse demeure, "son ami" Vittorio mange, assis au milieu de la [[table]]. Elle lui demande de la part du "Fou" : "''Si tu as fait ce que tu avais à faire.''" Une servante passe derrière Vittorio, et ferme soigneusement des [[Rideau|rideaux]] blancs.
Dans le [[Rideau#ancre_788bp|plan 78b]], "une [[colombe]] blanche" émerge de derrière le rideau du milieu. Ici, le rideau est blanc. Comme si la colombe était "confondue" avec le rideau, comme "une voile ailée" ? Mais c'est une voile enveloppante, emprisonnante. La Traductrice est emprisonnée dans une cage dorée. Preuve en est, ses cheveux repris en chignon, comme un nid renversé, suggéré par l'entortillement des nattes de cheveux autour de la tête. (Cf. '''Photogramme – Cheveux 16.''')