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- Plan 15 : le [[livre]] qui tombe ;
- Plan 15 : le [[livre]] qui tombe ;
- Plan 17 : le [[chat]] noir qui lape le lait renversé ;
- Plan 17 : le [[chat]] noir qui lape le lait renversé ;
- Plan 19a : le [[verre]] de la lampe à pétrole qui [[Catalogie|tombe]].
- Plan 19a : le [[verre]] de la lampe à pétrole qui [[Catalogie (de l'objet)|tombe]].


Le dernier indice est un signe complexe. Ne s'agit-il pas d'un signe sexuel ? Un signe hermaphrodite ? D'abord par sa forme : un long tube en verre renflé dans sa partie supérieure. C'est un signe "transparent". Ensuite, il installe une liaison directe avec "Le fenil en feu." C'est d'abord, grâce au mouvement de la caméra au moment où le verre tombe. Nous avons, en effet, un mouvement continu qui s'amorce avec la lampe à pétrole éteinte, avec son verre détaché, et se termine avec le feu gigantesque du fenil. C'est ensuite, une seconde liaison avec le petit appareil de chauffage de l'épisode suivant "le [[Rêve]] d'Aliocha", dans lequel le feu, au départ une simple lueur, va jaillir en flamme, pour finalement s'éteindre. Soulignons qu'à ce moment-là, la mère est avec son mari. Et ici, la lampe éteinte qui finit avec le fenil en feu. N'est-on pas en présence d'une [[métaphore]] du cheminement du mariage ? Précisons encore que le premier appareil, le verre de la lampe à pétrole, sert à éclairer alors que le second (dans l'épisode suivant) sert à chauffer. Un autre témoignage c'est le plan en insert, fugace, à la fin du "Rêve d'Aliocha" : le dos d'une [[main]] qui se chauffe devant un feu. (Cf. '''Photogramme – Feu 6.''')
Le dernier indice est un signe complexe. Ne s'agit-il pas d'un signe sexuel ? Un signe hermaphrodite ? D'abord par sa forme : un long tube en verre renflé dans sa partie supérieure. C'est un signe "transparent". Ensuite, il installe une liaison directe avec "Le fenil en feu." C'est d'abord, grâce au mouvement de la caméra au moment où le verre tombe. Nous avons, en effet, un mouvement continu qui s'amorce avec la lampe à pétrole éteinte, avec son verre détaché, et se termine avec le feu gigantesque du fenil. C'est ensuite, une seconde liaison avec le petit appareil de chauffage de l'épisode suivant "le [[Rêve]] d'Aliocha", dans lequel le feu, au départ une simple lueur, va jaillir en flamme, pour finalement s'éteindre. Soulignons qu'à ce moment-là, la mère est avec son mari. Et ici, la lampe éteinte qui finit avec le fenil en feu. N'est-on pas en présence d'une [[métaphore]] du cheminement du mariage ? Précisons encore que le premier appareil, le verre de la lampe à pétrole, sert à éclairer alors que le second (dans l'épisode suivant) sert à chauffer. Un autre témoignage c'est le plan en insert, fugace, à la fin du "Rêve d'Aliocha" : le dos d'une [[main]] qui se chauffe devant un feu. (Cf. '''Photogramme – Feu 6.''')

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