Modifications

Aller à : navigation, rechercher

Pierre

128 octets ajoutés, 30 septembre 2011 à 22:35
</blockquote></small>
 
<center>* </center>
<center>*</center>
====La valeur du procédé de parallélisme entre épisodes – La pierre et la pomme====
Qu'est ce que cela veut dire ? Quelle est la place de ces images dans le film ? A quoi correspondent-t-elles ? ====La présence de la paire de tenailles, valeur du [[feu]], de la pierre et de l'[[eau]] ne nous propose-t-elle pas une vision du changement psychologique de Roublev ? Nous avons déjà distingué le procédé de parallélisme entre épisodes, notamment avec le [[Croix#ancre_242|plan 242]]. Ce procédé est un facteur majeur dans l– Changement psychologique d'élaboration des fondements filmiques, car leur combinaison nous livre un élément de réponse. En effet, cette association suggère l'idée de la torture intérieure de Andreï Roublev, qui est matérialisée par la pierre chaude. Un autre parallélisme s'établit cette fois à l'intérieur de l'épisode : Roublev tient la pierre, avec une tenaille et la sourde-muette tient la pomme avec la [[main]]. La pomme annonce la trahison prochaine de la sourde-muette. Nous avons vu par parties les principales figures de la trahison d'Eve: l'[[arbre]], la couleuvre, le couple, il manquait la pomme, pour transposer le péché originel, qui est, par ailleurs, une question de [[choix]] et de [[doute]]. <ref>Cf. '''F. Cesarman''', à propos de la pomme dans ''Tristana'' de L. Buñuel : (…)"Tristana offre une pomme à Saturne (…) la pomme n'a pas ici la valeur de symbole démoniaque et destructeur mais témoigne simplement du besoin qu'éprouve Tristana de donner pour être aimée et acceptée". ''[[Thèse:Bibliographie#ancre_3|Pp. cit.]]'', p. 202. La dernière image du film termine de cette façon : (…) "Tristana offre une pomme au jeune sourd-muet, scène qui revêt alors une toute autre importance." p. 215. </ref>====
Cependant ici, le thème est inversé : cQu'est l'homme qui donne la pomme à la femme et, par la suite, elle accèdera à la connaissance, elle accèdera à l'amour, en voulant épouser le chef tatar. Nous verrons à ce moment-là l'aboutissement et que cela veut dire ? Quelle est la confirmation place de certaines figures provenant d'autres épisodes. Toutefois, à ces images dans le film ? A quoi accède Roublev ? Il en est où ? Que devientcorrespondent-t-il elles ? Comment va-t-il ? L'explication ne peut venir que des images. D'abordLa présence de la paire de tenailles, il tient du [[feu]], de la pierre à distance, avec des tenailles. Comme si toutes les choses étaient distantes et de lui ? Comme sl'il considérait toute chose avec des pincettes ? Il y a [[eau]] ne nous propose-t-elle pas une espèce de vision du changement anatomique : les mains n'ont plus toutes leurs fonctions. Il ressemble étrangement à un homme-insecte. Mais pour un peintre, les mains sont primordiales. De plus, elles ne tiennent plus psychologique de la peintureRoublev ? Nous avons déjà distingué le procédé de parallélisme entre épisodes, mais une pierrenotamment avec le [[Croix#ancre_242|plan 242]]. Le plan 291Ce procédé est un facteur majeur dans l'élaboration des fondements filmiques, suggère aussi une allusion à la légende de Sisyphe. car leur [[Combinaison (sémantique) "Dans la tradition, la pierre occupe une place |combinaison]] nous livre un élément de choixréponse. Il existe entre En effet, cette association suggère l'âme et idée de la pierre un rapport étroit. Suivant la légende torture intérieure de ProméthéeRoublev, procréateur du genre humainqui est matérialisée par la pierre chaude. (…) La pierre brute descend du ciel ; transmuée, elle Un autre parallélisme s'élève vers lui." <ref> '''Chevalier/Gherrbrant'établit cette fois à l'intérieur de l'épisode : Roublev tient la pierre, ''Dictionnaire des Symboles'', ''avec une tenaille et la sourde-muette tient la pomme avec la [[Thèse:Bibliographie#ancre_12|op. cit.main]]'', p. 751. </ref> "Le temple doit être construit avec de La pomme annonce la pierre brute, non [[trahison]] prochaine de la pierre tailléesourde-muette." <ref>Exode 20, 25. </ref> J. –P. Roux, dans son étude sur Nous avons vu par parties les croyances des peuples altaïques, oppose la signification symbolique principales figures de la pierre à celle de ltrahison d'arbre Eve: (…) "semblable à elle-même depuis que les ancêtres les plus reculés l'ont érigée ou ont[[arbre]], sur ellela couleuvre, gravé leurs messagesle couple, elle est éternelleil manquait la pomme, elle est pour transposer le symbole de "la vie statique"péché originel, tandis que l'arbrequi est, soumis à des cycles par ailleurs, une question de vie [[choix]] et de mort, mais qui possède le don inouï de la perpétuelle régénération, est le symbole de "la vie dynamique"[[doute]]. <ref>Cf. '''JF. –P. RouxCesarman''', ''Faune et Flore sacrées dans les sociétés Altaïques'', Paris, 1966, p. 52. </ref> La figure à propos de la pierre est inscrite en profondeur pomme dans le génome universel de l'humanité. <ref>Cf. 'Tristana''Gde L. Durand''' Buñuel : (...) "Bétyle, pierre levée, flèche Tristana offre une pomme à Saturne (…) la pomme n'a pas ici la valeur de symbole démoniaque et destructeur mais témoigne simplement du cocher signifient selon G. besoin qu'éprouve Tristana de Saint-Thierry, "vigilance donner pour être aimée et attente de l'union divineacceptée"(cité par '''M. Davy''', ''Essai sur la symbolique romane'', p. 13.), ''[[Thèse:Bibliographie#ancre_12ancre_3|opPp. cit.]]'', ppp. 142202. La dernière image du film termine de cette façon : (…) "Tristana offre une pomme au jeune sourd-143 ; 214; pierre platemuet, 354 ; 392scène qui revêt alors une toute autre importance." p. 215. </ref> La pierre est aussi le premier objet-outil de l'homme.
Les aspects liés à la superstition offrent d'autres éléments de réponse. Pour Frazer, (…) "le transfert du mal dans une pierre ou bien dans un homme ou un animal, par l'intermédiaire d'une pierre, est une pratique magique commune à tous les primitifs du monde. "Chez les Anciens, la pierre servait également à la divination comme médiatrice entre Dieu et le prophète : (…) "la sibylle transportait une pierre avec elle et montait sur elle pour prophétiser." <ref>'''Chevalier/Gherrbrant''', ''Dictionnaire des Symboles'', ''[[Thèse:Bibliographie#ancre_12|op. cit.]]'', p. 755. </ref> Il existait un art divinatoire, la lithomancie, qui utilisait plusieurs cailloux, (…) "qu'on poussait l'un contre l'autre et dont le son plus ou moins clair ou aigu donnait à connaître la volonté des Dieux." <ref>'''Collin de Plancy''', ''Dictionnaire Infernale…'', ''[[Thèse:Bibliographie#ancre_12|op. cit.]]'', Article, lithomancie. </ref> Enfin, ceux qui ont (…) "un besoin urgent de protection ou de secours, doivent jeter une pierre "dans un endroit sacré, église ou cimetière." <ref> ''Dictionnaire des superstitions'', Le jas, Forcalquier, Editions Robert Morel, 1967. </ref> Il existe enfin, une tradition superstitieuse qui veut que certaines pierres, (…) "ne doivent pas être touchées, car le mal (qui) s'y est transféré peut-être redonné par contamination." <ref>'''Chevalier/Gherrbrant''', ''Dictionnaire des Symboles'', ''[[Thèse:Bibliographie#ancre_12|op. cit.]]'', p. 756. </ref> Nous allons suivre à présent les effets de la chute de la pierre.
Lire la suite, (à propos de la sourde-muette capée et enlevée par le chef tatar.)<center>* </center>
*====Que devient Andreï Roublev ?====
Cependant ici, le thème est inversé : c'est l'homme qui donne la pomme à la femme et, par la suite, elle accèdera à la connaissance, elle accèdera à l'amour, en voulant épouser le chef tatar. Nous verrons à ce moment-là l'aboutissement et la confirmation de certaines figures provenant d'autres épisodes. Toutefois, à quoi accède Roublev ? Il en est où ? Que devient-t-il ? Comment va-t-il ? L'explication ne peut venir que des images. D'abord, il tient la pierre à distance, avec des tenailles. Comme si toutes les choses étaient distantes de lui ? Comme s'il considérait toute chose avec des pincettes ? Il y a une espèce de changement anatomique : les mains n'ont plus toutes leurs fonctions. Il ressemble étrangement à un [[#ancre_1|"homme-insecte"]]. Mais pour un peintre, les mains sont primordiales. De plus, elles ne tiennent plus de la peinture, mais une pierre. Le plan 291, suggère aussi une allusion à la légende de Sisyphe.
III - 1. 3. La relation entre la pierre et les crachats
Que doit-on dire à présent de Roublev, est-ce qu'il s'est séparé de la sourde-muette ? Ou est-ce qu'il en est délivré ? Peut-on voir dans ce fait un début de délivrance du serment de Roublev ? Pour l'instant, nous ne pouvons pas l'affirmer : il n'a pas reconnu son camarade Kyril. Après le départ de la compagne-serment, il retourne à sa tâche, à sa distance, il retourne à sa pierre, à son silence. La pierre devenant le symbole parfait de son silence ou plutôt, dans le poids de la pierre, il y a le poids de son silence. Mais quelle est la relation entre la pierre et les crachats ? Ou bien devrons-nous dire, quelle est la place des crachats dans l'épisode de la pierre ? Car pour Roublev, il s'agit après tout, d'un amour de pierre : l'épisode commence et se conclut avec la pierre et les crachats.<center>* </center>
Plus précisément alors, nous pouvons souligner que la place des crachats est la terre, un sol enneigée, froid ; les crachats et la pierre atterrissent sur le sol. Et pour que la graine de la parole et la bienveillance humaine donnent des fruits, il faudra attendre la pluie abondante du VIIIème épisode, la fougue débordante d'un jeune homme dans la boue de la terre, dans le son et le bruit de la terre, dans le brassage argileux de sa substance. Tarkovski prépare remarquablement la délivrance de Roublev et donc la délivrance de l'art dans le spirituel. C'est aussi une thématique tarkovskienne, la quête de la foi. Comme le dit le Stalker, "L'important c'est de ne pas perdre sa foi." Roublev n'avait pas perdu sa foi. Sa foi a été violemment perturbée, bouleversée. Il choisit donc de livrer son silence à Dieu. Il n'a pas perdu sa foi, parce qu'il est resté au monastère, et il s'est occupé du fardeau de son silence : la sourde-muette. Contrairement à Kyril, pour beaucoup moins que ça, au IIIème épisode, il tue son chien, il jette son baluchon, c'est-à-dire son fardeau, et il s'en va pour atterrir dans un lac gelé, "l'œil de la terre",[1] poursuivi par les "cousins" du chien, les loups. Kyril, bien plus tard, avouera à Roublev son incrédulité et sa perte de foi. Kyril ne livre pas son silence à Dieu, mais il a la voix enrouée, comme si elle venait des profondeurs de la terre, une voix déterrée. De plus, si nous remontons à l'origine du silence de Roublev, au plan 240, il tue un russe parce que ce dernier a emporté la sourde-muette sur son épaule pour la violer. Au VIIème épisode, 4 ans plus tard, le chef tatar emporte la sourde-muette sur le dos d'un cheval, et Roublev continue sa tâche, comme si de n'était rien. On peut dire que Kyril revient des loups, et Roublev revient des tatars.
_______________====Signification de la pierre : symbole de "la vie statique"====
"Dans la tradition, la pierre occupe une place de choix. Il existe entre l'âme et la pierre un rapport étroit. Suivant la légende de Prométhée, procréateur du genre humain. (…) La pierre brute descend du ciel ; transmuée, elle s'élève vers lui." <ref> '''Chevalier/Gherrbrant''', ''Dictionnaire des Symboles'', ''[1[Thèse:Bibliographie#ancre_12|op. cit.] G]'', p. Bachelard751. </ref> "Le temple doit être construit avec de la pierre brute, non de la pierre taillée." <ref>Exode 20, 25. </ref> J. –P. Roux, dans son étude sur les croyances des peuples altaïques, Loppose la signification symbolique de la pierre à celle de l'eau arbre : (…) "semblable à elle-même depuis que les ancêtres les plus reculés l'ont érigée ou ont, sur elle, gravé leurs messages, elle est éternelle, elle est le symbole de "la vie statique", tandis que l'arbre, soumis à des cycles de vie et de mort, mais qui possède le don inouï de la perpétuelle régénération, est le symbole de "la vie dynamique". <ref>'''J. –P. Roux''', ''Faune et Flore sacrées dans les rêvessociétés Altaïques'', Paris, 1966, p. 52. </ref> La figure de la pierre est inscrite en profondeur dans le génome universel de l'humanité. <ref>Cf. '''G. Durand''' : (...) "Bétyle, pierre levée, flèche du cocher signifient selon G. de Saint-Thierry, "vigilance et attente de l'union divine"(cité par '''M. Davy''', ''Essai sur la symbolique romane'', p. 13.), ''[[Thèse:Bibliographie#ancre_12|op. cit.]]'',pp. 142-143 ; 214; pierre plate, 354 ; 392. </ref> La pierre est aussi le premier objet-outil de l'homme.
*
<center>* </center>
III – 1. 4. Liens spécifiques du film
Voir : Andreï Roublev====Superstition de la pierre====
Les aspects liés à la superstition offrent d'autres éléments de réponse. Pour Frazer, (…) "le transfert du mal dans une pierre ou bien dans un homme ou un animal, par l'intermédiaire d'une pierre, est une pratique magique commune à tous les primitifs du monde. "Chez les Anciens, la pierre servait également à la divination comme médiatrice entre Dieu et le prophète : (…) "la sibylle transportait une pierre avec elle et montait sur elle pour prophétiser." <centerref>* '''Chevalier/Gherrbrant''', ''Dictionnaire des Symboles'', ''[[Thèse:Bibliographie#ancre_12|op. cit.]]'', p. 755. </ref> Il existait un art divinatoire, la lithomancie, qui utilisait plusieurs cailloux, (…) "qu'on poussait l'un contre l'autre et dont le son plus ou moins clair ou aigu donnait à connaître la volonté des Dieux." <ref>'''Collin de Plancy''', ''Dictionnaire Infernale…'', ''[[Thèse:Bibliographie#ancre_12|op. cit.]]'', Article, lithomancie. </ref> Enfin, ceux qui ont (…) "un besoin urgent de protection ou de secours, doivent jeter une pierre "dans un endroit sacré, église ou cimetière." <ref> ''Dictionnaire des superstitions'', Le jas, Forcalquier, Editions Robert Morel, 1967. </ref> Il existe enfin, une tradition superstitieuse qui veut que certaines pierres, (…) "ne doivent pas être touchées, car le mal (qui) s'y est transféré peut-être redonné par contamination." <ref>'''Chevalier/Gherrbrant''', ''Dictionnaire des Symboles'', ''[[Thèse:Bibliographie#ancre_12|op. cit.]]'', p. 756. </centerref>Nous allons suivre à présent les effets de la chute de la pierre.
<ref> </ref>[[Cape#La cape de la sourde-muette|Lire la suite]], (à propos de la sourde-muette capée et enlevée par le chef tatar.)
''' <span id="ancre_30">Plan</span> ''' '' ''&quot;
<span id="ancre_1"center>*</spancenter> [[Fichier:p.jpg|200px|thumb|right|'''Photogramme - Génuflexion 1''' : ''Andreï Roublev'', '''Plan '''. ]]
<center>* </center>
====Liens spécifiques du filmLa relation entre la pierre et les crachats====
Que doit-on dire à présent de Roublev, est-ce qu'il s'est séparé de la sourde-muette ? Ou est-ce qu'il en est délivré ? Peut-on voir dans ce fait un début de délivrance du serment de Roublev ? Pour l'instant, nous ne pouvons pas l'affirmer : il n'a pas reconnu son camarade Kyril. Après le départ de la compagne-serment, il retourne à sa tâche, à sa distance, il retourne à sa pierre, à son silence. La pierre devenant le symbole parfait de son silence ou plutôt, dans le poids de la pierre, il y a le poids de son silence. Mais quelle est la relation entre la pierre et les [[Crachat|crachats]] ? Ou bien devrons-nous dire, quelle est la place des crachats dans l'épisode de la pierre ? Car pour Roublev, il s'agit après tout, d'un amour de pierre : l'épisode commence et se conclut avec la pierre et les crachats.
Voir Plus précisément alors, nous pouvons souligner que la place des crachats est la terre, un sol enneigée, froid ; les crachats et la pierre atterrissent sur le sol. Et pour que la graine de la parole et la bienveillance humaine donnent des fruits, il faudra attendre la pluie abondante du [[Drap#La figure du drap plié en cloche|VIIIème épisode]], la fougue débordante d'un jeune homme dans la boue de la terre, dans le son et le bruit de la terre, dans le brassage argileux de sa substance. Tarkovski prépare remarquablement la délivrance de Roublev et donc la délivrance de l'art dans le spirituel. C'est aussi une thématique tarkovskienne, la quête de la foi. Comme le dit le Stalker, "''L'important c'est de ne pas perdre sa foi.''" Roublev n'avait pas perdu sa foi. Sa foi a été violemment perturbée, bouleversée. Il choisit donc de livrer son silence à Dieu. Il n'a pas perdu sa foi, parce qu'il est resté au monastère, et il s'est occupé du fardeau de son silence : la [[Paille#ancre_180|sourde-muette]]. Contrairement à Kyril, pour beaucoup moins que ça, au IIIème épisode, il tue son [[Chien#Les enchaînements de la figure du chien |chien]], il jette son baluchon, c'est-à-dire son fardeau, et il s'en va pour atterrir dans un lac gelé, "l'œil de la terre", <ref>'''G. Bachelard''', ''L'eau et les rêves'', ''[[Andreï Thèse:Bibliographie#ancre_14|op. cit.]]'' </ref> poursuivi par les "cousins" du chien, les loups. Kyril, bien plus tard, avouera à Roublev son incrédulité et sa perte de foi. Kyril ne livre pas son silence à Dieu, mais il a la voix enrouée, comme si elle venait des profondeurs de la terre, une voix déterrée. De plus, si nous remontons à l'origine du silence de Roublev, au [[Homicide#L’homicide d’Andreï Roublev|plan 240]], il tue un russe parce que ce dernier a emporté la sourde-muette sur son épaule pour la violer. Au VIIème épisode, 4 ans plus tard, le chef tatar emporte la sourde-muette sur le dos d'un cheval, et Roublev continue sa tâche, comme si de n'était rien. On peut dire que Kyril revient des loups, et Roublev revient des tatars.
Voir : ''[[Miroir (Le)|Miroir (Le)Andreï Roublev]]'' 
<center>* * *</center>
 
 
== Voir aussi ==
 
*[[Oiseau]]
 
 
<center>* * *</center>