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Attente

1 octet supprimé, 3 février 2012 à 18:29
/* Les sentiers ou les voies de l'attente, "La Madone del Prato" */
''' <span id="ancre_3">Plan</span> 3 :''' '' 2' 26''&quot; : Passage à la couleur. Passage à un autre paysage, presque identique au prologue. (Cf. Photogramme – Arbre 10.) Une voiture (Volkswagen) s'arrête. La Traductrice, Eugenia sort du véhicule, elle dit en russe : "C'est un paysage extraordinaire… Cette lumière me rappelle l'automne à Moscou."[3] Son compagnon, le Poète Gortchakov, reste dans la voiture, et lui demande de parler en italien. Il restera d'ailleurs longtemps dans la voiture. La Traductrice s'éloigne dans les brumes en empruntant un petit sentier. Après quelques longues secondes d'hésitation, le Poète sort de la voiture en raillant : "J'en ai assez de ces beautés écœurantes."[4] C'est une phrase fracassante, contradictoire qui d'emblée installe (de nouveau) la qualité nostalgique du film : aucune beauté ne peut remplacer le sentiment du pays natal. Mais paradoxalement un fait souligne les deux plans (plans 1 et 3).
''' <span id="ancre_4">Plan</span> 4 :''' '' 5' 46''&quot; : La Traductrice entre dans une église. Des femmes voilées, agenouillées, prient. Un prêtre entre à gauche du cadre. Il s'adresse à la Traduc-triceTraductrice, mais il parle face à la caméra.
- Le prêtre : "''Vous voulez avoir un enfant ou une grâce de ne pas en avoir ?'' "<br/>