Pays de la Violence (Le)

De Cinémancie
Version datée du 16 janvier 2013 à 14:23 par Dimitri Dimitriadès (discussion | contributions) (Page créée avec « <span id="ancre_1a"> </span> [[Fichier: Frankenheimer_I Walk the Line_08_Pont.jpg|300px|thumb|right|alt= '' I walk the line '' de Frankenheimer John. L’omniprésence ... »)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à la navigation Aller à la recherche

I walk the line de Frankenheimer John. L’omniprésence de la ligne dans le film. Le shérif qui traverse le pont suspendu pour rejoindre la maison des McCain.
I walk the line de Frankenheimer John. L’omniprésence de la ligne dans le film. Le shérif qui traverse le pont suspendu pour rejoindre la maison des McCain.

Aspects techniques du film

  • Titre : Le pays de la violence
  • Réalisation : Frankenheimer John
  • Année de réalisation : 1970
  • Titre original : I walk the line
  • Pays : USA
  • 95 minutes, couleur
  • Langue : Anglais
  • Production : Cohen Harold D. et Lewis Edward
  • Scénario : Sargent Alvin, d’après la nouvelle de Jones Madison
  • Directeur Photographie : Walsh David M.
  • Décors : March Marvin
  • Costumes : Brown Lewis
  • Son : Overton Tom, Piantadosi Arthur
  • Musique : Cash Johnny
* * *

Principaux acteurs

  • Gregory Peck : Shérif Tawes
  • Tuesday Weld : Alma McCain
  • Estelle Parsons : Ellen Haney
  • Lonny Chapman : Bascomb
  • Charles Durning : Hunnicutt (adjoint au shérif)
  • Nora Denney : Darlene Hunnicutt
  • Ralph Meeker : Carl McCain
  • Freddie McCloud : Buddy McCain
  • Jeff Dalton : Clay McCain
* * *


Résumé du film

Henry Tawes (Gregory Peck [1]), la cinquantaine passée, est le shérif d’une petite ville du Tennessee (centre est des Etats-Unis). C’est un homme honnête et bon. Un jour, il rencontre une jolie jeune femme, Alma McCain (Tuesday Weld), qui pourrait être sa fille. Le père d’Alma tient une distillerie clandestine, c’est la seule ressource de la famille. Alma, transformé en « Lolita », séduira le sérieux shérif afin qu’il « ferme les yeux » sur l’activité illégale de son père. Mais le shérif ne résistera pas longtemps aux charmes irrésistibles de la jeune fille, il va finir par succomber à cette douce folie amoureuse, non seulement en protégent son père, mais aussi en décidant d’enlever sa fille, de quitter sa femme et son travail.


* * *

Introduction

Le titre du film : Le Pays de Violence

Jamais titre de film n’a porté si mal son nom (il n’est pas le seul). Le titre original, en anglais est : I walk the line, littéralement, « Je marche la ligne », qu’on peut traduire par « Je marche droit ». Or, un grand écart se creuse entre les deux titres qui présentent le film de deux manières différentes. Sans entrer dans les détails, le titre en français compromet le film et ira jusqu’à le corrompre en négligeant un élément central du « procès narratif » [2] : la ligne.

Il est vrai que la fin du film bascule dans la violence, en particulier, quand l’adjoint au shérif, Hunnicutt tuera le chien noir, le gardien d’Alma, afin de la violer, il sera à son tour tué par le père d’Alma. Et encore une fois, le bon shérif viendra au secours de la famille McCain.

*


La suite est en préparation



* * *

Notes et références

  1. 5 avril 1916 – 12 juin 2003
  2. Pour reprendre le mot d’André Gardies, L’Espace au cinéma, op. cit., p. 90.


* * *


Haut de page



Introduction à la cinémancie



Liste des mots - Liste des films - Liste des réalisateurs