« Animal » : différence entre les versions

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Version du 2 novembre 2012 à 12:53

Alexandre, d'Oliver Stone. L'occident (le cheval) contre l'orient (l'éléphant).
Alexandre, d'Oliver Stone. L'occident (le cheval) contre l'orient (l'éléphant).


Titres des films

Mode d'emploi de la figure (mot) et abréviations


Titre Titre original Réalisation Scénario Année Pays Durée (min.)
All the Little Animal All the Little Animal Thomas Jeremy Hamilton W., Thomas E. 1999 USA 112
Animal Animal Bosch Roselyn Bosch Roselyn 2006 USA 89
Animal Factory Animal Factory Buscemi Steve Bunker E., Steppling J. 2000 USA 98
Animal Kingdom Animal Kingdom Michôd David Michôd D. 2010 Australie 112
C&#156;ur Animal C&#156;ur Animal Cornamusaz Séverine Beaulieu M., Cornamusaz S., Revaz N. 2009 France 90
Fin du Règne animal (La) Fin du Règne animal (La) Brisse Joël Brisse Joël
Vermillard Marie
2003 France 107
Lovers Elegy (Dying Animal) Coixete Isabel Meyer N., Roth P. 2008 USA 112
Part animale (La) Jaudeau Sébastien Jaudeau S.

Coudrier-Kleist I.

Bichet Y.
2007 France 89
Post Coïtum Animal Triste Post Coïtum Animal Triste Roüan Brigitte Amigorena S., Le Guay P., Richar J.-L., Roüan B., Zilberstein G. 1997 France 97
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Autres titres de films

Mode d'emploi de la figure (mot) et abréviations


Titre Titre original Réalisation Scénario Année Pays Durée
Aguirre, la Colère de Dieu Aguirre, der Zorn Gottes Herzog Werner Herzog Werner 1973 Allemagne 95
Andreï Roublev (Voir détail : Andreï Rublyov) Tarkovski Andreï Tarkovski A.
Konchalovsky A.
1969 URSS 215
Concile de Pierre (Le) Concile de Pierre (Le) Nicloux Guillaume Cabel Stéphane, Nicloux Guillaume, d’après le roman éponyme de Grangé Jean-Christophe 2006 Allemagne, France, Italie 100
Good Morning, Babylon
§. Des éléphants sculptés
Good Morning, Babylon Taviani Paolo et Vittorio Guerra Tonino [1], Taviani Paolo et Vittorio, d’après une idée de Fonvielle Lloyd 1987 France, Italie 118
Into the Wild

§. L'élan épargné
Φω. 7. Plan 157

§. L'élan abattu
Φω. 56. Plan 1182
(Voir détail : Into the Wild) Penn Sean Sean Penn,
roman de Jon Krakauer
2007 USA 147
Maître (Le)

§. Un cirque en ville

Φω. 2. Plan 3.
(Voir détail : Mistrz) Piotr Trzaskalski Lepianka W.
Trzaskalski P ;
2005 Allemagne
Pologne
117
Mathilde]
§. La mouette du "plan parfait"
Φω. 24. Plan 502.
(Voir détail : Mathilde) Mimica Nina Mimica Nina 2004 Italie, Espagne, Angleterre, Allemagne 97
Miroir (Le)

§. Chat noir et verre de lampe à pétrole
Φω. Plan 19.
§. L’énigme du coq

Φω. Plan 131.
(Voir détail : Zerkalo) Tarkovski Andreï Tarkovski A.

Micharine A.

Et poèmes d'Arseni Tarkovski.
1975 URSS 106
Nostalghia

§. La chienne "Zoé"

Φω. Plan 50.
(Voir détail : Nostalghia) Tarkovski Andreï Tarkovski A.
Guerra T.
1983 URSS
Italie
130
Ombre et la Proie (L’) The Ghost and the Darkness Hopkins Stephen Goldman W. 1996 USA 109
Stalker (Voir détail : Stalker) Tarkovski Andreï Tarkovski A.
Strougatski A. et B.
1979 URSS 161
Viridiana

§. Vache et lait

Φω. Plan 12a.
Viridiana Buñuel Luis Buñuel L.
Alejandro J.
1961 Mexique
Espagne
90
Visiteur (Le) Muukalainen Valkeapää Jukka-Pekka Forsström J.
Valkeapää J.-P.
2008 Finlande

Angleterre

Allemagne
139


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Photogrammes extraits des films - Analyse et liens spécifiques des films

Aguirre, la Colère de Dieu de Werner Herzog

Audacieux, impitoyable, tyrannique, traître, féroce, dur, les qualificatifs les plus cruels ne manquent pas pour décrire Aguirre. L'image présente Aguirre et sa fille dans un beau carrosse. Il lui montre un petit animal qu'il vient de capturer. Un paresseux, il explique tendrement à sa fille : "C'est un animal qui dort tout le temps."(Cf. Photogramme - Animal)


Photogramme - Animal : Aguirre, la Colère de Dieu. La fille du tyran et son modèle : un paresseux.
Photogramme - Animal : Aguirre, la Colère de Dieu. La fille du tyran et son modèle : un paresseux.


Il nous semble que c'est une "image-clé", elle résume par métaphorisation l'idée centrale du film : (…) "(c'est une) réflexion sur le pouvoir, la soif de l'or et l'autodestruction ... (Un) méticuleux constat clinique sur l'extinction, au XVIème siècle, d'une colonne de conquistadors partie à la recherche de l'Eldorado dans les forêts vierges du Nouveau monde." [2]

Herzog précise : (…) "Je pense que ce film, n'est pas vraiment le récit d'événements et le portrait des personnages. A tous les niveaux, c'est un film sur ce qu'il y a derrière les paysages, les visages, les situations et les mots." [3] En effet, derrière le paysage du fleuve amazonien, (c'est le contexte diégétique du film), il y a son propre pays qui passe en filigrane. Cette image condense l'aspect totalitaire d'un régime : la fille souriante d'Aguirre représente le peuple souriant.

Métaphoriquement, le peuple est à l'intérieur d'un carrosse doré, mais il est emprisonné. De plus, le tyran tient dans ses mains un animal doux et silencieux. C'est une autre représentation métaphorique du peuple. Encore une fois, l'animal ne représente pas directement ce qu'il est.

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Liens spécifiques du film

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Andreï Roublev, d'Andreï Tarkovski

La figure de l'Animal dans le film

Dans le 4ème épisode, au plan 121, quand le moujik demande les rênes (pour attacher Roublev contre un poteau), Roublev devient comme un animal. Ainsi nous constatons un glissement (provisoire) vers Roublev du caractère et du comportement du bouffon (Voir : Les "inversions du Bouffon" ; Oignon). En général, les rênes sont (…) "des courroies fixées au mors d'un cheval et par laquelle on le conduit."[3] De ce fait, nous pouvons supposer qu'Andreï Roublev doit vivre de l'intérieur leurs mythes et leurs croyances pour comprendre et sentir l'âme russe. Il est devenu, à ce moment-là, comme un animal. Mais, là aussi, il y a un glissement de l'image, de cheval il devient licorne, un animal fabuleux. A travers cette démonstration, nous pouvons déduire que la figure du cheval noir (Ier épisode), peut aussi très bien représenter une métaphore d'Andreï Roublev lui-même. Dans ce cas, nous serions en contradiction avec ce que nous avions conclu, à savoir que le cheval noir exprime plutôt la foule. C'est l'esprit du doute qui se manifeste, non pas à travers des hypothèses, mais à travers de "faits formels visibles" ou comme ici "entendus". En résumé, l'hypothèse c'est la trajectoire, et le fait formel c'est la destination.

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L'animal comme agent de liaison

Dans Andreï Roublev, les animaux ont un poids non négligeable pour l'élaboration de figures de liaison dans le film. Il faut dire qu'avec le cheval noir, le chien mort, le cygne en décomposition, la couleuvre fugace et une vache en flamme, le film propose non seulement un large éventail d'animaux différents, mais il les place, de plus, dans des situations singulières. Il y a plusieurs raisons à cela. D'abord, les animaux forment un type de langage universel. Ils sont inscrits en profondeur dans un nombre illimité de mythes, de légendes, de récits. Ils sont indispensables, voire incontournables dans l'évolution humaine en général. Si le cheval nous permet de parcourir de longues distances dans l'espace, les animaux, en général, nous permettent également de parcourir de grandes distances dans le temps. Pendant notre enfance, et plus loin encore, dans le temps de l'enfance de l'humanité, les liens inextinguibles qui unissent l'homme et l'animal, ont contribué dans chaque région, à édifier des grands symboles zoomorphes. [6]

Liens spécifiques du film

Voir : Andreï Roublev


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Stalker, d'Andreï Tarkovski

L'animalisme du Stalker

Le Stalker porte au niveau du cou, une espèce de bandage médical qui, avec le temps, a perdu de sa blancheur et de sa tension : un bandage relâché, comme la laisse d'un animal. La raison d'être de ce "collier de tissu", nous l'apprenons grâce à la biographie sommaire que le Professeur raconte à l'Écrivain, dans le long plan 44 : "Un séjour en prison, des mutilations ici (...) " Grâce à sa femme nous en saurons davantage sur la prison, à la fin du plan 10 : "C'est en prison que tu rentreras ! Et tu écoperas non pas de cinq ans, mais de dix ans ! " Le Stalker lui lance une réponse qui prête à réfléchir : "En prison ! Mais je suis partout en prison. " Nous pouvons aussi déduire que même dans la Zone, "il est en prison", qu'il est tenu par une laisse à la Zone, comme celle qu'il porte au cou. Témoin du "développement" de cette image et de son évolution : c'est le chien noir de la Zone. Le Stalker, de retour de la Zone, va l'adopter. Au plan 134, dans le bar, la femme du Stalker dit, en désignant le chien : " D'où ça vient, ça." Le Stalker lui dit : " Il s'est attaché à moi. Comment l'abandonner ?" Le "ça", ce prénom démonstratif désigne "le chien", mais il pourrait aussi désigner la Zone. Ça sera d'ailleurs une des grandes questions du film : est-ce que le chien noir symbolise la Zone ? Peut-être que, s'il ne la désigne pas directement, du moins il la personnifie. Ainsi, la réponse du Stalker est révélatrice. Mais lui aussi est attaché à la Zone.

*


L'animalisme de la Zone

Non seulement nous avons un excès de nominalisme animal (Voir : Nom), mais nous allons entendre en plus, par intermittence, pendant tout le séjour dans la Zone, des bruits d'animaux : des hurlements de chien, des coucous. Nous allons aussi voir un chien noir, déjà cité, et deux mystérieux corbeaux. "Il n'y a personne dans la Zone", mais il y a des animaux. Qu'est-ce à dire ? La Zone est-elle une mutation du paradis primordial ? Comment expliquer la présence animalière dans la Zone ? Nous trouvons souvent chez Tarkovski des propositions premières qui affirment une conséquence dualiste (contraire) dans le film. Ces conséquences sont des propositions secondaires, cachées. Elles installent les propositions premières dans une situation d'équilibre fragile, qui leur confèrent un régime en mouvement, c'est-à-dire que tout peut entrer dans une instance de changement. Ainsi dans la question relative aux animaux, le dualisme est le suivant : puisque la Zone est en quelque sorte une création d'une super-civilisation, est-ce que les animaux sont (comme on peut le voir avec le chien noir) les instigateurs de cette super-civilisation ? Ou alors, l'homme dans sa soif de vaincre devient-il un animal ?

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Il reste enfin un poisson qui apparaît rôdant près de la bombe. Tarkovski se détache encore une fois des Strougatski, par la nécessité intérieure de l'artiste de dévoiler ses champs de préoccupations et de labourer ses charges émotionnelles. Il est particulièrement intéressant de voir le développement d'un certain nombre de registres de significations qui s'emboîtent et qui évoluent en même temps séparément. L'œuvre est cyclique : nous partons d'un bar, pour revenir à un bar. (Plan 133) Un bar est parfois le lieu de rencontre de gens spéciaux, qui racontent des histoires extraordinaires, des légendes, des mythes, des contes. Le film prend souvent les proportions d'un conte. Il est un conte. [7] Au long plan 120, l'Écrivain demande au professeur: "Vous croyez à tous ces contes de fées ?"Le Professeur lui répond : "Aux beaux contes, non. Aux contes terribles, oui." En réalité, Stalker est un beau conte, raconté terriblement, dramatiquement. Comme toujours dans les contes, les animaux ont une place importante. Nous avons abordé avec la question du nominalisme animal le statut des noms d'animaux. L'agneau et le poisson s'inscrivent dans des registres privilégiés, et le poisson conclut l'issue de la Zone. C'est le dernier plan concernant la Zone. (…) "La symbolique du poisson s'est étendue du christianisme. (...) Toutefois dans la plupart des cas, le symbolisme, tout en restant strictement christologique, reçoit un accent un peu différent : comme le poisson est aussi une nourriture et que le Christ ressuscité en a mangé (Luc 24, 42), il devient symbole du repas eucharistique. (...) Enfin, comme le poisson vit dans l'eau, on poursuivra parfois le symbolisme, en y voyant une allusion au baptême, le chrétien est comparable à un petit poisson, à l'image du Christ." [8]

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Liens spécifiques du film

Voir : Stalker


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Croyances Symboliques et / ou Superstitieuses

La symbolique de l'animal

"Elle remonte à la nuit des temps et l'homme lui attribua très tôt des pouvoirs supra-humains. La faune, avec tous les dangers ou bienfaits potentiels qu'elle représentait pour l'homme, était chargée de significations premières et l'homme n'allait pas tarder à projeter sur les animaux des esprits bénéfiques ou maléfiques qui participaient à une des expressions religieuses les plus reculées de l'humanité, l'animisme. Pour se concilier et tenter de maîtriser ces forces plus ou mois obscures, l'homme se doit de respecter ces esprits et les animaux qui les incarnent. Il se choisit bien souvent un animal totémique qui lui assurera une protection et auquel l'homme manifeste une dévotion sacrée." [9]

La place de l'animal dans les civilisations anciennes

"L'animal est bien plus qu'un animal, il a sa place aux côtés des divinités et celles-ci prennent d'ailleurs souvent des formes animales. Ainsi, trouve-t-on en Égypte des dieux affublés d'une tête animale tandis que certains animaux étaient considérés comme des incarnations sacrées de dieux sur la terre et des cultes leurs étaient consacrés. De même, les religions chamaniques considèrent les animaux comme une source de pouvoir et de sagesse parce qu'ils ont accès à des secrets de la nature que l'homme ne peut percevoir. Le chaman doit alors entrer en communication avec ces animaux pour leur arracher ces secrets."[10]


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La place de l'animal dans les religions

"Dans l'iconographie chrétienne, l'Esprit Saint prend la forme d'une colombe, le Christ est souvent représenté comme un poisson et les Évangélistes sont aussi symbolisés par des animaux. Dans la Bible, les animaux peuplent des espaces hostiles, tels que le désert ou les océans et symbolisent des mondes dangereux, régis par le désordre. Les figures animales représentent souvent des ennemis de Dieu et l'Apocalypse de saint Jean évoque la figure du mal sous une forme, symbolique : " Alors je vis monter de la mer une bête qui avait dix cornes et sept têtes ... La bête que je vis ressemblait au léopard, ses pattes étaient, comme celles de l'ours et sa gueule comme celle du lion ". L'animal représente les forces sauvages que les Saints parviennent à domestiquer, de la même façon que certains martyrs parvenaient à soumettre des bêtes sauvages par la force de leur foi inébranlable. Saint François d'Assise n'a-t-il pas amadoué le loup de Gubbio ? "

"Malek Chebel cite un texte musulman selon lequel Allah priva les animaux de parole le jour où ils désobéirent à Adam qui leur demandait de labourer la terre. La culture musulmane, comme bien d'autres, classifie les animaux en espèces pures et impures. Ainsi, la bécasse, le charognard ou le hibou sont impurs et on sait combien le porc est symbole d'impureté et de souillure."

"L'interdiction alimentaire de certains animaux est présente dans toutes les croyances. Certains voient dans la consommation de viande, si pas un acte d'anthropophagie, du moins une appropriation malsaine des créatures de Dieu. Au contraire, l'abstinence de viande est considérée comme un acte de pureté et la religion catholique l'encourage, que ce soit durant le Carême ou tous les vendredis. L'interdiction de viande est aussi présente dans le brahmanisme ou le bouddhisme."[11]

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Animal et imagination

"L'imaginaire de l'homme a créé toutes sortes d'animaux fabuleux, comme le centaure, l'hydre à sept têtes, la chimère, qui sont le siège d'esprits néfastes plus ou moins effrayants. Ces monstres évoquent souvent l'animalité dans ce qu'elle peut avoir de plus effrayant. Ils sont à l'image des pulsions non maîtrisées de l'homme, qu'il faut combattre et vaincre.<"/span>

"L'animal est d'ailleurs une métaphore très répandue et chaque animal peut représenter un miroir renvoyant à l'homme un reflet de sa nature. Que l'on songe à la tourterelle amoureuse, à la colombe de paix, à la fougue du taureau, à l'insouciance du papillon, etc."[12]


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Voir aussi


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Notes et références

  1. Co-scénariste avec Tarkovski du film Nostalghia
  2. Georges Sadoul, Dictionnaire des Films, Éditions Microcosme/ Seuil, (1965) 1990, p. 11.
  3. Cf. Écran 75, n° 35.
  4. Les plans entre crochets ne sont pas inclus dans le dictionnaire.
  5. Ibid.
  6. La question de la zoomorphie cinématographique mériterait un long chapitre.
  7. Cf. Gestenkorn et Struedel, "La Quête et la Foi" ou "Le Dernier Souffle de l'Esprit." op. cit., pp. 75-76
  8. Chevalier/Gherrbrant, Dictionnaire des Symboles, op. cit., p.774. Cf. également Tertullien, Traité du Baptême.
  9. Texte de Miguel Mennig, article : Animal. © Eyrolles Pratique : www.editions-vm.com
  10. Ibid.
  11. Ibid.
  12. Ibid.


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